Wouah est une société de diffusion d’image
qui réalise des vidéos/photos aériennes à l’aide d’aéronefs télé-pilotés (Drones).
Plusieurs fois primées à des concours photos,
nous apportons une vison artistique lors de nos missions.
Une originalité assumée.
Il est préférable d’échouer dans l’originalité, que de réussir dans l’imitation.. C’est pour cela que nous nous entourons de personnes ayant la même philosophie. Nous avons privilégié d’apporter une vision différente, dans laquelle l’originalité est assumée avec conviction.
Des passionnés avant tout.
Plus qu’une simple Société de diffusion, Wouah est donc le lieu où chaque concepteur connaît la portée d’une image et de son pouvoir de révélation. Nous sommes des passionnés de la prise de vue, et de l’aéronautique qui se sont regroupé pour vous apporter des angles de vue d’une dimension nouvelle.
Du travail collaboratif
Les concepteurs proposent chacun un regard pertinent et complémentaire sur vos projets. C’est la confrontation de ces regards qui fait la richesse de Wouah et c’est la volonté de chacun, qui nous permet d’être actifs dans les secteurs de l’information et de la communication d’entreprise.
Sublimer notre travail
L’idéal de la vie n’est pas l’espoir de devenir parfait, c’est la volonté d’être toujours meilleur. Parce que les besoins en vidéos de chaque client sont différents, parce que les missions demandées sont hétéroclites, parce que les plans aériens ne sont que la valeur ajoutée des plans aux sols, parce qu’un montage de qualité sublime le travail de terrain. Wouah apportera une attention toute particulière à chacun des projets soumis.
Qu’est-ce qu’un drone ?
Le drone est un aéronef télécommandé, c’est-à-dire sans pilote à bord. Il embarque une charge utile qui lui permet de réaliser des missions diverses et variées : surveillance, renseignement, cartographie, transport, vidéo, etc.
Le drone est un aéronef télécommandé, c’est-à-dire sans pilote à bord. Il embarque une charge utile qui lui permet de réaliser des missions diverses et variées : surveillance, renseignement, cartographie, transport, vidéo, etc.
La conceptualisation du drone remonte à la fin de la Première Guerre Mondiale.
Alors qu’aux Etats-Unis se développe le projet Hewitt-Sperry automatic airplane, en France George Clémenceau, alors Président de la Commission sénatoriale de l’Armée, lance un projet « d’avions sans pilote » : le capitaine Max Boucher met au point un système de pilotage automatique qui fait voler sur plus de cent kilomètres un avion Voisin BN3.
Ainsi, dans les années 1920, des avions sans pilote radio-commandés voient le jour, avec les tentatives de torpilles aériennes télécommandées par des ondes de télégraphie sans fil.
La dénomination de « drone » (terme désignant en anglais un « faux bourdon », mâle de l’abeille) a été octroyée dans les années 1930 au Royaume-Uni par comparaison ironique à des Queen Bee : leur vol bruyant, lent et paresseux ressemble plus à celui du bourdon à la vie éphémère qu’à celui d’une reine abeille. Cette dénomination a perduré et s’est institutionnalisée.
Le premier drone français stricto sensu a été conçu, réalisé et expérimenté dès 1923 à Etampes par l’ingénieur Maurice Percheron et le capitaine Max Boucher. Toutefois, l’armée française n’y voyait pas encore d’intérêt militaire.
Le grand essor des drones date de l’époque de la Guerre Froide. Le drone a été développé de façon confidentielle par les Etats-Unis comme un moyen de supériorité stratégique et de rupture de capacité devant permettre la surveillance et l’intervention militaire chez l’ennemi sans encourir les risques humains que l’opinion ne supportait plus.
En outre, il est utilisé pour larguer des tracts dans le cadre de la guerre psychologique.
Les drones sont engagés pour la première fois pendant la guerre du Viet Nam, puis lors de la guerre du Kippour.
Ils font désormais partie des moyens tactiques et stratégiques du champ de bataille.
L’absence de pilote permet d’opérer à l’intérieur des lignes ennemies pour des missions à risque, sans crainte de pertes humaines.
Le secteur de la défense constitue un vivier historique pour le développement de technologies de rupture qui sont par la suite réutilisées dans le domaine civil.
Tel fut le schéma de développement du drone.
Depuis plus de vingt ans maintenant, les drones ont été développés et utilisés en France dans un cadre militaire, pour des missions de surveillance et de renseignement.
Suivant l’exemple de nombreuses innovations majeures initialement militaires (le satellite, le moteur à réaction, le GPS, internet), la technologie des drones a été adaptée depuis quelques années au secteur civil.
Source / Fédération Professionnelle du Drone Civil
Titulaire d’un MAP (Manuel d’Activités Particulières).
Wouah est titulaire d’un MAP (Manuel d’Activités Particulières), délivré par la DSAC/DGAC (Direction de la Sécurité de l’Aviation Civile), (Direction Générale de l’aviation Civile) sous l’égide du ministère de l’écologie, du développement durable et de l’énergie permettant d’utiliser nos drones sur le territoire français en toute légalité.
Filmons vos projets jusqu’en 4K…
Wouah est à la pointe de la technologie grâce à ses drones, et nous nous devions également de l’être en vidéo numérique.
Quelque soit votre projet… La présentation de votre entreprise, de vos locaux, pour l’immobilier, le BTP, le tourisme, ainsi que pour vos exploits sportifs où la qualité vidéo doit s’adapter à vos besoins.
3840 X 2160 (16:9). 30 images/sec. Très grand niveau de détail. Idéal pour drone. Qualité maximale. Le 4 k est une résolution 4 fois plus grande que le 1080 (Full HD) et s’ouvre donc directement au marché professionnel. A ce jour, il faut noter tout de même que la plupart des téléviseurs et écrans d’ordinateurs n’ont pas encore une définition aussi grande, néanmoins, le 4 k est un mode ultra-détaillé qui peut apporter une nette amélioration dans le détail des images.
2704 x 1520 (16:9). 24 à 50 images/sec. Très bonne netteté, utile pour les basses lumière, idéale pour les drones. Le 4 k et 2,7 k sont les modes de prédilections pour le tournage avec un drone notamment et c’est un nouveau monde qui s’ouvre à eux. Mais le 2,7 k est un mode que nous utilisons beaucoup. Lors des sorties sportives souvent des secousses impactent l’image, et filmer dans une aussi grande résolution, permet du coup de stabiliser ensuite en post-production ce que nous n’avons pas pu stabiliser sur le terrain et ainsi conserver une grande résolution d’image.
1920 x 1440 (4:3). Très bon rapport qualité/Poids. Bon pour les projets sportifs avec de l’action. Ralentis extrême en haute résolution.
1920 x1080 (16:9). 30 à 120 images/sec. Format commun passe partout. Utile pour le web en gardant une définition irréprochable.
1280×960 pixels (4:3). 48 à 100 images/sec. Sport et action. Format très immersif.
1280×720 pixels (16:9). 60 à 120 images/sec. pour les projets nécessitants des ralentis.
848×480 pixels (16:9). à 240 images/sec. Excellent pour les ralentis extrêmes.